GAYLE; what a wicked game to play, to make me feel this way.
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B. Dillawn Willis
Holà, yé danse la macarena !
MA PETITE VIE Ma petite vie Aux Bahamas depuis: toujours avec une absence de cinq ans. Statut civil: célibataire. Lieu de résidence: dans son appart à bay street.
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Sujet: GAYLE; what a wicked game to play, to make me feel this way. Sam 7 Juin - 14:34
Gayle & Dillawn
What a wicked game to play, to make me feel this way.
Date du RP: 07.06.2014. Lieu précis du RP: plage. Moment approximatif de la journée: début d'après-midi. Autres informations: Facultatif, à rajouter si vous en ressentez le besoin ou l'envie
B. Dillawn Willis
Holà, yé danse la macarena !
MA PETITE VIE Ma petite vie Aux Bahamas depuis: toujours avec une absence de cinq ans. Statut civil: célibataire. Lieu de résidence: dans son appart à bay street.
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Sujet: Re: GAYLE; what a wicked game to play, to make me feel this way. Sam 7 Juin - 14:46
Gayle & Dillawn
what a wicked game to play, to make me feel this way.
Seule dans mon appart, je tournais en rond, d’une part parce que je n’avais rien à faire, et d’autre part parce que considérant la chaleur à ce moment de la journée, je risquais de mourir déshydratée si je faisais quelque chose d’un tant soit peu physique. En effet, il était quatorze heures et le soleil tapait à son plus fort de la journée. Profitant de ce zénith, j’enfilais mon maillot de bain ainsi qu’une robe de plage afin d’aller me rafraîchir et par la même occasion troquer ma peau porcelaine contre un joli teint foncé, en espérant ne pas tendre vers l’écarlate comme j’en ai l’habitude. Armée de ma serviette ainsi que de mon sac de plage, je pris le chemin de la plage où je m’étalais. Avant d’aller dans l’eau, je décidais de prendre un granité citron. Revenant vers la place où je m’étais installée quelques minutes auparavant, je tournais la tête à droite et à gauche afin de voir s’il n’y avait pas quelqu’un que je connaissais vers qui je pourrais squatter et rendre mon après-midi plus agréable. C’est alors que je vis une silhouette ainsi qu’un visage qui m’étaient bien trop familiers pour que je puisse douter. Néanmoins, après quelques secondes de réflexion je réussis à me convaincre que non, ce fantôme du passé n’était pas venu me hanter ; après tout, il avait tout ce qu’il lui fallait à Londres, que serait-il venu faire ici. Je secouai alors la tête comme pour me chasser mes idées délirantes de la tête, décrétant que ce n’était qu’une hallucination de ma part, admettant à demi-mot à moi-même que peut-être il me manquait plus que je ne voulais l’admettre, mais comme je m’étais si souvent convaincue, le passé reste le passé, point.
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